UNANIMA International présente quelques signes d’espoir

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L’espérance est le fil conducteur de la plus récente infolettre d’UNANIMA International (UI). Malgré des constats sévères sur l’état de notre monde avec ses conflits, les phénomènes climatiques extrêmes et leurs désastres, la directrice générale Jean Quinn, fdls, souligne les nombreux signes d’espoir réels en cette année 2024 tout en reprenant les paroles prophétiques du pape François « L’espérance chrétienne… est très importante, car elle ne déçoit pas. L’optimisme déçoit, l’espérance non! … »

Pour nourrir cette espérance, la publication souligne un événement organisé à Frascati en Italie en octobre dernier afin de lancer un réseau pluriconfessionnel d’action climatique dirigé par des femmes.

La tenue de la 12e session du Forum urbain mondial (FUM12) a suscité une participation record. Le thème de cet événement « Tout comme chez soi » a rappelé l’importance d’agir localement pour relever les défis du manque de logements adéquats, de l’augmentation de la pauvreté urbaine et de la difficulté d’accéder à des services de base.

La 29e Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP29) fait également l’objet d’un article. On y apprend le rôle de Liana Almony, directrice adjointe de l’ONG, qui a participé et coparrainé des événements parallèles.

On retrouve également des informations sur les objectifs entourant la tenue du Sommet social mondial en 2025, notamment sur l’inclusion, la protection sociale, l’éducation pour tous… Et on prend connaissance de la récente rencontre virtuelle des membres du conseil d’administration d’UI qui a été le théâtre d’une présentation sur un mouvement d’action climatique. C’est sa fondatrice, Mary Robinson, première femme présidente de l’Irlande (1990-1997) et ancienne haut-commissaire des Nations unies qui en a fait la présentation.

Le numéro se conclut avec la présentation de deux témoignages communautaires qui illustrent bien la diversité des engagements des congrégations religieuses dans le monde. On fait ainsi mention du programme alimentaire des Sœurs de la Sainte Union au Cameroun et présente un témoignage en lien avec un survivant du tremblement de terre en Haïti en 2010, aidé par les Religieuses de Jésus-Marie (RJM)