Lancement de la campagne d’appui aux revendications de la Marche mondiale des femmes 2020

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Une conférence de presse organisée par la Coalition québécoise de la Marche mondiale des femmes (CQMMF) aura lieu le 17 octobre 2020 pour annoncer le calendrier des actions, officialiser le lancement de la campagne d’appui aux cinq revendications et le chant de rassemblement.

À défaut de pouvoir tenir un rassemblement en présence à Terrebonne le 17 octobre pour les raisons que l’on connaît, les membres de la CQMMF ont confirmé une feuille de route qui planifie des actions durant toute l’année jusqu’au 17 octobre 2021.

Pour faire valoir spécifiquement chaque revendication, le comité organisateur a prévu une présentation de chacune au cours de l’année. Ces présentations seront accompagnées d’outils d’éducation populaire pour favoriser une meilleure connaissance de la problématique et encourager des actions.

Pleins feux sur la 1ère revendication : la pauvreté

La pauvreté est au centre de la première revendication annoncée le 17 octobre. Un guide d’animation d’atelier déjà disponible (fichier PDF) permet d’aborder plusieurs aspects, notamment d’être capables d’identifier les visages de la précarité, ici comme ailleurs. On aborde aussi les questions de la sécurité économique et des actions à poser pour contrer la pauvreté. Le guide comprend également des fiches statistiques fort éclairantes sur la situation.

Les autres revendications profiteront d’une présentation similaire, accompagnée d’un guide d’animation selon le calendrier suivant :

6 décembre 2020

Violence

21 mars 2021

Femmes immigrantes, migrantes, racisées

22 avril 2021

Justice climatique

21 juin 2021 ou 4 octobre 2021

Femmes autochtones

Le rassemblement en présence est maintenu pour le 17 octobre 2021, à Terrebonne, avec toutefois des restrictions concernant le nombre de personnes participantes pour des raisons de sécurité sur les lieux.

Soulignons que la semaine de clôture de la 5e action internationale de la MMF se terminera par une action de solidarité féministe de 24 heures, le 17 octobre.

Comme on a pu lire dans un document de travail de la CQMMF, « Ce n’est pas parce que nous ne marchons pas que nous n’existons pas. »